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 Asterilla Jwll

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Asterilla Jwll

Asterilla Jwll


Date d'inscription : 26/02/2012
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MessageSujet: Asterilla Jwll   Asterilla Jwll EmptyDim 26 Fév - 17:31

Musique : Eluveitie - Jezaig

Citation :
I- Informations essentielles

Nom : Jwll.

Prénom : Asterilla.

Sexe : Féminin.

Age : 22 ans.

Espèce : Banshee.

Groupe : Citoyenne de l'Empire.

Métier : Protectrice de la famille impériale. Elle l’est par hérédité, aussi bien que par choix.

Equipement : Asterilla porte en permanence deux tenues. Une robe, toujours blanche, sous laquelle elle porte une tenue de toile légère, bien plus pratique pour se mouvoir, voire virevolter. Elle porte une dague en acier particulièrement effilée au niveau de la taille. Elle ne se prive pas de l’empoisonner, et trouve toujours le moyen de se procurer diverses petites fioles aux effets nocifs.

Capacités :
-liées à son espèce : comme toutes les banshees, elle pousse un cri à glacer le sang lorsqu’elle pressent la mort autour de quelqu’un. Elle est incapable de se transformer intégralement en corbeau mais peut se parer de certains de leurs attributs et les employer : ailes, ou serres par exemple. Elle possède également la capacité de prémonition mais elle est extrêmement limitée, c’est-à-dire qu’il lui faut un écran d’eau et que les ‘messages’ sont souvent décousus.
-liées à son éducation : Asterilla n’est pas une érudit, et a reçu une éducation très pratique, ce qui ne l’empêche pas d’avoir une intelligence glaciale, un certain sang-froid. Elle a également apprit à se défendre et l’assassinat n’a pas de secrets pour elle.

Faiblesse : Elle est extrêmement dévouée et cela par choix, et fait totalement confiance à Metis, ce qui peut altérer ses raisonnements. Elle manque cruellement, également, d’aisance dans l’interraction sociale : l’aura macabre héritée de sa mère n’engage pas trop à la conversation, et son rôle comme sa tenue restreint souvent son cercle de connaissances à la famille royale, aux amis et aux négociants qu’elle croise en suivant Metis.
Malgré son sang-froid impressionnant, il se trouve qu’Asterilla est extrêmement lunatique, et, même si c’est souvent lié à l’humeur de la Princesse, sa conception de son travail à tendance à évoluer sans aucune raison dans les différents degrés de la cruauté. Cela n’excepte que sa fonction de messagère de mort.

Particularité (facultatif) : Quand sa voix n’est pas le cri qui annonce la mort, elle peut porter de très belles mélodies.

Citation :
II- Physionomie

Afin de se montrer la plus efficace possible, Asterilla se doit de conserver une corpulence musclée, fine et élancée, propre à celle qui doit pouvoir réagir promptement à toutes les situations et jouer le caméléon, l’acrobate ou l’ombre de la mort. Pour ce qui est de sa tenue, la demoiselle affectionne les robes blanches, avec la particularité de ne porter que celles qui la serre au niveau de la taille, et qui la gênent donc beaucoup moins. Outre cela, les artifices sont entièrement négligés. Tout ce qui est bijou est complètement mis de côté pour le manque d’intérêt qu’elle leur porte.
Elle a donc un extrême soin de la santé et du paraître d’elle-même pour des raisons pratiques …
Si l’on s’applique à décrire son physique et non plus ses vêtements, nous arriverons à un constat un peu plus contrasté. En effet, si l’on met de côté ses caractéristiques familiales, elle serait très loin d’être une femme qu’on pourrait voir comme laide. Même en l’absence de courbes très aguicheuses, et avec la caractéristique d’être un peu trop mince, elle arbore un visage relativement agréable. Des yeux olives, bien mariés avec sa chevelure d’un brun qui tire sur le roux. On ne peut pas dire, étant donné sa proximité avec la princesse, qu’elle se prive de quelques petites fioritures sur le plan de la chevelure, et c’est bien là un des rares domaines dans lequel elle sort de ses restrictions pratiques. Elle s’est en effet offert le luxe incroyable et impensable de quelques mèches de cheveux orangées.
Pourtant, peu nombreuses sont les personnes qui seraient envieuses de l’approcher de plus près ou d’apprendre à la connaître. Son héritage racial lui confère comme une aura, quelque chose qui fait qu’elle paraît dangereuse, qu’elle sent la mort, sans odeur ni preuves physiques. Un instinct, quelque chose de noir qui transparaît par-delà le simple monde physique. Et enfin, quelque chose d’inexplicable.
Pour ce qui est des explications, on pourrait en revanche alléguer sa froideur, son rôle social, ou bien son désintérêt chronique pour ce qui ne touche ni à sa mission, ni à la musique. Ou bien, avec un peu de perspicacité, serait-ce simplement le cri à glacer le sang que les banshees ne savent pas retenir quand elles sentent planer autour de quelqu’un l’odeur d’une mort prochaine ?

Citation :
III- Psychologie

En apparence, quelques mots suffirait à résumer de façon très exacte la personnalité de la banshee. Froide, distante, efficace, parfois un peu cruelle sur les bords. Mais ce dernier point, à titre d’exemple, cache quelques dispositions à sortir de ce moule dans lequel elle s’est fondue, qui en cachent elles-mêmes d’autres et … finalement on révèle un véritable petit être vivant et pensant, avec sa complexité si passionnante.
Si Asterilla tend à être cruelle, ou à savourer la douleur qu’elle inflige par des actes comme par des mots, par la peur qu’elle fait pénétrer dans le sang des autres, c’est parce qu’il s’agit d’une de ses uniques sources de satisfaction. Se sentir dominante, contrôler la situation, et surtout, se savoir tout au-dessus des maillons de la chaine alimentaire est quelque chose qu’il plait à la banshee de penser, et qui pour elle est évident car incontestable. Là où certains trouvent les délices de la vie dans le sucre d’un baiser, elle le trouvera dans celui d’une étreinte … une étreinte dans laquelle sa dague est l’invité surprise.
De plus, même si elle a l’allure dévouée entièrement à Metis, ce qu’elle est, ce fut à la condition que cette confiance soit mutuelle. Elle conserve donc sa liberté de mouvement, comme carte blanche dans l’exécution de ses différentes tâches. Et même au sein de la famille de la jeune femme, il ne fait pas bon la contrarier … En fait, il n’y a peut-être que la princesse qui pourrait se permettre, tout en restant détendue, des plaisanteries. Oui, l’humour, même s’il existe bel et bien pour la dame blanche. Cynique. Noir. Voilà ce qu’il est.
D’où tire-t-elle cette sombre personnalité ? D’un besoin constant de ridiculiser, de banaliser, ce pour quoi son existence entière semble être vouée. Tout en restant extrêmement sérieuse et appliquée, consciente d’œuvrer pour une cause qui n’est pas plus mauvaise qu’une autre, elle comprend également qu’elle porte un mauvais rôle. Annoncer et prévoir la mort. Combien d’êtres vivants peuvent se vanter d’encaisser une telle responsabilité sans jamais sombrer dans la démence ?
Le bouclier d’Asterilla est ce qui apparaît justement comme des brins de folie. Avaler la douleur, et caresser la mort comme un chat qui s’étire à ses côtés. Se moquer de l’une et fourrer un coup de pied entre les côtes de l’autre. Juste pour montrer qu’elle ne se laisse pas écraser.
Contrairement à la princesse, la banshee n’a aucune révulsion pour les hommes, et s’ils ne voguent pas dans son entourage, c’est principalement parce que Metis ne les tolère pas dans le sien et qu’elle passe la majeure partie de son temps à ses côtés.

Citation :
IV- Histoire

Le berceau d’Asterilla fut un berceau de givre et de flocons. Il possédait à la fois le froid mordant et rude et la douceur de la poudreuse. Son père fut un homme aimant dont elle ne possède plus aucun souvenir précis, là où sa mère lui offrit pour vivre sa vie l’héritage des Banshees de la famille royale. Si elle semble comme avoir perdu la mémoire sur la personne qui était son père, c’est pour la bonne raison que sa mère a crut bon d’imiter les succubes de certains mythes lointains et brumeux. Ce qui fait que la seule chose qu’il lui ait laissée, ce ne sont que quelques principes, quelques instincts vagues et dont elle-même semble ignorer la provenance. Mais lorsqu’elle pourra avoir la vue d’un dieu sur sa propre vie, elle comprendra que c’est son père qui lui a évité d’être, comme sa mère, une simple machine à tuer ; une servante aveugle.
Toute l’éducation qui a régie l’enfance d’Asterilla reposa sur l’emblème de la famille royale. Son monde fut construit autour d’un apprentissage qui plait peu aux délices spirituels, même s’il n’en était pas totalement absent. Son existence semblait contrôler, mais en elle, un message incoercible germait. Un désir plus fort encore que tout ce en quoi elle semblait croire fermement et ce à quoi elle s’accrochait désespérément pour donner un sens à tout ce qu’elle apprenait et à tout ce qui l’attendait.

Sa mère n’eut jamais l’honneur de l’entendre pousser son premier cri.

Le vent s’engouffre dans la chambre par la fenêtre grande ouverte, faisant s’agiter les rideaux. Accoudée à l’encadrement, une vieille femme à la peau blanche et à la robe noire comme la nuit fixe l’horizon, un sourire aux coins des lèvres. Elle a crié pour elle-même, elle a sentit la mort planer autour de sa propre personne, voilà maintenant une dizaine d’heures. Et voilà une dizaine de minutes qu’elle sent son ventre la brûler. Ses veines l’incendier, petit à petit, à travers tout son corps. Elle pourrait hurler, appeler à l’aide. Et même pointer du doigt son assassin, lui expliquer qu’elle n’avait que fait suivre la tradition. Faire comprendre à sa fille qu’elle n’était pas mauvaise, créer, enfin, un véritable lien entre elles. Mais elle n’en ferait rien, la seule chose qu’elle ressentait, c’était de la fierté.
Une première secousse éprend son corps et envoie au bas du palais son verre s’écraser et son vin se répandre, une flaque rouge lavée par la pluie et des débris coupants. Voilà ce qu’elle serait pour sa fille : un mauvais souvenir et un héritage funeste. Elle sourit, à la pensée qu’un homme a put lui donner une fille assez forte pour s’extirper de la routine. Ce qu’elle ressent, alors qu’une vieille amie l’enlace, c’est sans aucun doute de l’amour.

Une silhouette sort de la pénombre de la pièce. Juvénile, presque fragile. Asterilla n’a rien eut à entendre, mais tout à percevoir, et elle pense avoir comprit. Avoir saisit. Finalement, l’être qu’elle était avait eut le droit aux meilleurs parents du monde. Mais les chemins qui se croisent doivent se quitter, et ne se retrouvent parfois jamais. C’est l’une des phrases qui lui était si chère. Du poison. Des larmes. Et un chant qui s’élève par-dessus le halo blanc de la nuit.

-Les silhouettes dansent autour de l’univers
Et leurs pas sont aveugles et hasardeux
Elles se heurtent, s’accrochent, dérivent à deux
Ou à plus, mais leur lien est éphémère.
Chaque silhouette est un monde sans pair
Un heurt, un entrelas d’univers.
Et chaque lien qui se détruit est ombre,
Souvenir, sourire, parfum ou haleine.
Les silhouettes, sans cesse, vont et viennent,
Et ne restent que des fantômes aux veines sombres.


Dès lors, la vie d’Asterilla fut un choix. Elle choisit de cheminer sur une route semblable à celle de sa mère, mais en traçant des sentiers qui lui étaient bel et bien propres. Oui, elle protégerait l’Empire et serait celle qui porterait la mort au sein de la famille royale, comme le voulait ses macabres origines. Mais ce serait parce que ce chemin était celui qu’elle avait désigné comme étant le sien.
On lui proposa de prendre la tête de la garde de la princesse, ce qu’elle refusa. Elle serait certes sa protectrice, son exécutrice tout autant. Mais elle ne voulait pas de responsabilités supplémentaires vis-à-vis de personnes qui ne faisaient pas partie de la famille royale. Elle ne servait pas l’Empire, mais la princesse. Car c’était là les conditions pour qu’elle se sente réellement vivante.

Citation :
V- En dehors du jeu (facultatif naturellement)

Prénom/pseudo : Matt

Age : 18

Comment avez-vous découvert le forum ? : Un peu par hasard, je m'en souviens même plus.

Une remarque sur le forum ? Pas spécialement, je trouverais bien en écrivant avec vous tous ^-^
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Metis Adhbreith
Modératrice HRP/Fondatrice
Metis Adhbreith


Date d'inscription : 11/07/2011
Messages : 834

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MessageSujet: Re: Asterilla Jwll   Asterilla Jwll EmptyDim 26 Fév - 17:37

Ta fiche me semble parfaite.
Je laisse Ambre la lire et la valider, mais pour moi c'est ok ^^
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Ambre Bellamy
Admin/Fondatrice
Ambre Bellamy


Date d'inscription : 10/07/2011
Messages : 999

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MessageSujet: Re: Asterilla Jwll   Asterilla Jwll EmptyDim 26 Fév - 20:56

Pour le métier si Metis est ok, pas de probèmes, pour les pouvoirs, tu es une Banshee extrêmement puissante, ça me gène pas dans la mesure où tu sers les Adhbreith et que tu assumes pleinement ces pouvoirs (pas de bourrinnage quoi).

Sinon pour moi, validée.
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