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 [Humain] Irwin Saw

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Irwin Saw

Irwin Saw


Date d'inscription : 09/07/2012
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MessageSujet: [Humain] Irwin Saw   [Humain] Irwin Saw EmptyLun 9 Juil - 18:29

I- Informations essentielles

Nom : Saw.

Prénom : Irwin.

Sexe : Masculin.

Age : 31 ans.

Espèce : Humain.

Groupe : A première vue, tout le monde dirait « Hors-la-Loi », presque sans hésiter. Après tout, il est Pirate non ? Pourtant, rien, aucune rumeur, aucun fait, ne fait état de pillages ou d’attaques contre des civils d’aucun pays. Au contraire, il se ravitaille même légalement auprès de certaines villes côtières. Irwin Saw n’a probablement enfreint aucune loi à proprement parler, mais une chose est certaine, il semble avoir une sacrée dent contre les autres Pirates…

Croyances : La Loi du plus fort, du Talion…

Métier : Il semble être ce qu’on nomme communément un Pirate, bien qu’il mériterait surement une autre dénomination.

Domaine : Hors-La-Loi (Mer).

Rang : Capitaine Pirate.


II - CAPACITÉS ET POSSESSIONS

Equipement : Quel capitaine digne de ce nom ne possède pas son propre navire ? Le Némésis, renommé suite à la mutinerie ayant eu lieu quelques années auparavant, est un brick, voilier à deux mats à voiles carrées d’un peu moins de 30 mètres de long pour 8 de large. Il jauge environ 120 tonneaux, possède quelques cabines isolées sous l’unique pont en plus du château arrière réservé au Capitaine. Rapide et d’une très bonne manœuvrabilité, il n’en reste pas moins redoutable avec ses 16 bouches à feu, toutes occupées par des canons, cela va de soi, surtout quand on connait son Capitaine. A son bord, une petite vingtaine de matelots suffisent à en tirer le meilleur parti.

En dehors de cela, le Capitaine Saw possède l’attirail réglementaire du parfait Pirate, à savoir un sabre dont on dit qu’il vaut mieux ne pas le pousser à le brandir, mais également un pistolet d’arçon et une tenue qui allie cuirs et tissus renforçant son air un peu patibulaire. Il lui arrive de porter un mousquet en plus de son pistolet et de son sabre, mais ça reste rare. Par contre, pas d'chapeau à plumes, ni d'perroquet, c'est passé de mode de toute façon. Sa cabine contient une petite bibliothèque avec plusieurs ouvrages différents, de recueils de légendes aux tomes plus savants traitants de potions et d’herbes. Pas d’animaux, pas d’instruments de musique, certains de ses hommes se demandent même ce qu’il peut faire à part lire pour passer le temps, lui qui ne semble même pas jouer aux dés plus que nécessaire quand eux-mêmes ne peuvent pas imaginer une soirée sans une partie…

Capacités : Après plus de dix années en mer, il faut dire qu’il a appris à avoir le pied marin ce gars-là ! Et pourtant, quelques-uns de ses plus vieux loups de mer se souviennent encore de lui, les premières nuits suivant son arrivée à bord qu’il passait à renvoyer son diner par-dessus le bastingage du navire. Ce n’était pas gagné, assurément, mais, l’expérience aidant, il est devenu un bon marin, sachant tirer un bon parti de vent qui lui est offert, mais, par-dessus tout, c’est un bougre d’artilleur ! Désosser des navires de loin, je ne sais pas si c’est son dada, mais en tout cas, il sait y faire ! M’enfin, s’il doit aller à l’abordage, je peux aussi vous dire que ce n’est pas le dernier. Bon viseur et bon bretteur, il n’hésite pas à tailler la chair. Certains disent qu’il ressemble à un véritable démon quand il se trouve au milieu de la mêlée. Je ne saurai pas vous dire s’ils ont raison ou tort. J’sais juste qu’il ne vaut mieux pas se trouver devant sa lame lorsqu’elle est tirée et prête à frapper, mais je suppose que c’est pareil avec n’importe qui… Ah ! J’oubliais, depuis le temps qu’il se perd à lire dans sa cabine, il maitrise quelques notions de magie civilisée, enfin un truc avec des potions. On dit qu’il fait des choses louches avec ça, mais les rumeurs ça reste des rumeurs. C’est comme celle qui dit qu’il aurait soigné un gosse avec une potion ! Rien que ça… Irwin le Flamboyant sauver un gamin ! Décidément certains n’ont pas la tête en place…

Faiblesse : Le Capitaine Saw est un homme sauvage. Beaucoup disent qu’il semble parfois habité d’une présence malfaisante. Il semblerait que certains témoignages sont poussés à l’extrême. Après tout, qui, « ne laissant pas de survivants », arrive à faire parler de lui malgré tout ? Quoiqu’il en soit, certains sources sûres – quelques matelots avinés font des miracles dans une taverne – m’assurent que cet homme est une brute. La violence n’est pas quelque chose qu’il abhorre, sans s’y vautrer, il n’hésitera pas à s’y abandonner lorsque l’heure de combattre est venue. Mais sa plus grande faiblesse reste sa soif de vengeance. Même son équipage n’est pas trop au courant, sauf peut-être les plus anciens, mais si cet homme écume les mers depuis si longtemps coulant et arraisonnant tous les navires pirates qu’il rencontre, ce n’est pas par plaisir. Oh non. Il en recherche un, bien particulier, et n’aura de cesse de le traquer jusqu’à pouvoir l’étriper de ses propres mains. Il est vindicatif au possible et les années ne le rendent pas meilleur de ce point de vue, bien au contraire. Le nom du navire n’est pas une coïncidence. Parlez–lui de l’homme qu’il cherche et il vous fera cracher tout ce que vous savez de lui, d’une manière ou d’une autre… Le sang-froid n’est pas une chose qu’il connait, pas depuis dix ans, et même s’il a une certaine maîtrise de lui-même, certaines choses font bouillir son sang plus vite que le désert de Feu ne ferait bouillir de l’eau. De la même manière, si vous lui cherchez des noises, attendez-vous à ce qu’il ait la rancune sévère. Ce n’est pas tant qu’il est dépourvu d’humour – quoiqu’un peu quand même – simplement qu’il n’aime pas qu’on lui cherche des poux. On dit également, mais ça tiendrait presque du mythe, que les femmes aux cheveux de feu parviendraient, sans rien faire, à le désarçonner quelques instants. Faiblesse du corps, ou de l’esprit ou encore simple fable ? Je ne crois pas que cela soit vraiment important.

Particularité : Quelques cicatrices, de ça, de là. La plus visible est une petite entaille sur son menton. Rien de bien dramatique mais elle marque un peu plus l’austérité de son visage.


III- Physionomie

« L’Cap’tain Saw ? l’Flamboyant ? Ouais moussaillon, j’le connais bien moi. Paye moi une bouteille de rhum et j’te raconte c’que j’sais. » La bouteille de rhum arrive et il s’en sert un verre avant d’le descendre cul sec. Il se ressert. « Il est d’jà passé par ici y’a quelques mois. Pour du ravitaillement, nourriture, eau, rhum… Enfin tu sais c’que c’est les voyages en mer, hein p’tit ? On a d’abord cru qu’ils venaient nous piller – on s’attends pas à aut’chose d’la part d’un drapeau noir – mais au lieu d’nous canonner, l’navire pirate s’est simplement accosté et il est descendu seul, sabre à la hanche mais pas à la main. Deux trois hommes l’suivaient mais autant t’dire qu’c’est l’cap’taine qui a attiré l’attention… D’loin il avait d’jà d’la gueule mais alors d’près… Grand, droit et volontaire, la démarche conquérante, le regard rivé sur l’avant et inflexible. Personne n’aurait pu l’arrêter, c’était évident, pas même les pauvres gars qui s’étaient amassés en une sorte de milice à la vue du bateau… Il s’arrose le gosier d’une gorgée de son verre. « Il s’est arrêté d’vant nous et on a tous pu croiser son regard et l’regarder. Pas d’doutes possibles, c’était bien l’Flamboyant. Les rumeurs ça circule vite gamin, plus vite encore qu’une trainée d’poudre et celle sur c’gaillard là, elle est pas du genre de celles qu’on oublie le lendemain d’une cuite ou d’une soirée chez la gueuse, et c’est la première fois qu’une rumeur s’approche autant d’la vérité… » Il finit son verre avant de se resservir une nouvelle fois, vidant d’un trait ce nouveau verre. « C’qui frappe, en premier, c’est ses ch’veux. S’pas une crinière de feu, mais presque… Y’avait une p’tite brise ce jour-là… Elle f’sait voler ses ch’veux mi-long à la couleur brune mais avec des reflets cuivrés, un truc qui avait l’air pas naturel, enfin pas pour un Homme, si tu vois c’que j’veux dire… Ils donnaient l’air d’être animé d’eux mêmes, t’sais, un peu comme la flamme d’une bougie qui danse devant toi. » Il boit une gorgée. « C’pas humain, j’te l’dis, s’pas humain. » Une autre, avant de fixer son interlocuteur dans les yeux. « Pis y’a ses yeux… ses yeux… Sont bruns, enfin à en croire certaines femmes, ce serait noisette ou marron ou tout autre nuance de brun qu’elles peuvent inventer… Ah les femmes ! … Quoiqu’il en soit, t’as l’idée générale… Mais y’a un point où tout l’monde s’accorde, c’est les reflets qui dansent dans ses yeux, des notes d’or, ou de miel – ça dépend encore de qui t’en cause – qui apparaissent et disparaissent, comme dans une danse t’vois ? Du genre à t’hypnotiser sans qu’tu t’en rendes compte ! C’est pas humain… » Un autre verre y passe, la bouteille en a pris un sacré coup mais, apparemment ça ne semble pas gêner le narrateur. « Mais c’qui glace le sang quand tu l’vois, c’est surtout qu’il a l’air d’être découpé à la hache. Les traits durs t’vois ? L’visage fermé, du genre qu’t’as pas envie d’faire chier sinon il t’expédie à bon port en toutes petites boites… Chez certains t’as d’l’arrondi, d’la nuance, là… rien. Tout en ligne droite, en brutalité. J’te dis, c’gars là il doit pas rigoler souvent… Nez volontaire, pas d’sourire, il a même une p’tite cicatrice sur l’menton qui l’rend encore plus méchant… Nan vraiment, j’crois qu’il a suffit qu’on l’regarde pour savoir qu’on os’rait pas l’ver la main sur lui. Enfin faut comprendre, on n’est qu’des pécheurs nous… » Il noie son excuse dans un flot de rhum avant de se resservir. « En dehors de ça… Ca reste un Cap’taine… Vêtements de cuir et d’tissus. J’l’ai vu une fois avec une longue veste qu’il portait sur les épaules, les manches flottant au vent. Jamais d’chapeau… Il reste simple j’pense. P’tête ses origines qui font ça. J’suis pas dans sa tête. Il a la peau tannée par l’soleil, mate comme pas deux, mais ça, pour un marin, c’est normal, enfin j’crois… Y’a trop d’choses bizarres chez lui, ça peut en faire partie. D’t’façon, les gars qui disent qu’c’est en fait un Salamandre doivent avoir raison. On dit qu’ils ressemblent au feu, et c’mec là, il porte pas son surnom pour rien… Moi j’peux t’le dire, j’y étais. » Il finit son verre et vide la bouteille dans un dernier service. « S’tout c’que j’sais. Désolé p’tit. » Puis il finit son dernier verre dans une levée de coude.

VI- Psychologie

« Ecoute Mat’lot. T’es nouveau ici, et y’a deux trois p’tites choses qu’on doit t’mettre dans l’crâne avant qu’on s’prenne l’premier crachin. Et la plus importante, ça concerne l’Cap’taine. T’as b’soin d’un p’tit briefing en c’qui l’concerne, du moins s’tu veux pas commettre d’impair et passer par d’ssus bord à des dizaines de miles d’la côte la plus proche. T’écoutes ? Parc’que j’le répèt’rai pas deux fois. » Le maître d’équipage Sherrigan regarde le moussaillon quelques instants, s’assurant son attention malgré l’agitation qui règne sur le pont du Némésis. « L’Capt’aine a ses habitudes et son caractère. Faut qu’tu l’assimiles vite s’tu n’veux pas finir en nourriture pour poissons. Il n’est pas très causant, mais quand il cause, on l’écoute et on n’discute pas. Il n’donne pas l’air de s’intéresser beaucoup à nous mais n’t’inquiètes pas qu’il voit le moindre de tes gestes, alors évite d’tirer au flanc. Sa cabine, il y reste parfois longtemps sans qu’on sache ce qu’il y fait, mais, que j’te prévienne de suite, évite les questions à ce sujet. Chacun à ses secrets et tout le monde ici a appris à respecter ceux du Cap’taine alors tu f’rais mieux de faire pareil, ou sinon c’est p’tête nous qui allons t’balancer à la flotte. »

Journal de Bord du Capitaine a écrit:

[…]
Le p’tit nouveau est malade mais le médecin s’en charge, apparemment rien de grave. J’ai bien fait de prendre quelques ouvrages supplémentaires sur les potions et les herbes à notre dernière escale. Faudra d’ailleurs que j’essaie un remède donné pour les symptômes du p’tit. Comme toujours, quand je me plonge dans quelque chose qui me tient à cœur, ma concentration m’emporte et les heures passent alors que je me perds dans ces livres. Seuls les coups à la porte de ma cabine annonçant le diner me sortent de ma bulle. En même temps, je sais que Sherrigan fait bien son travail qu’il s’occupe bien des gars et qu’au moindre problème il sait où m’chercher. De toute façon j’ai toute confiance dans mon quartier-maître pour gérer à ma place la routine à bord.
[…]

« Il est renfermé, c’est sa nature. Enfin ça l’empêche pas d’savoir quoi faire quand faut l’faire et d’ce côté-là, il vaut surement cent fois mieux qu’notre ancien Cap’taine, un p’tit malin qui s’pavanait et n’arrêtait pas d’causer. Enfin passons. Là où tu l’reconnaitras plus, c’est quand on aborde un navire. Si d’ordinaire il a l’air distant, absent – mais ne t’y trompe jamais – là, au contraire, il semble soudain accorder toute son attention au présent et être dans l’expectative de la suite. C’est un autre homme quand il se bat et, un conseil, n’te trouve jamais devant lui. J’pense pas qu’il t’ferait du mal mais t’sais c’que c’est, l’excitation du combat ça t’transforme un homme et certains ont déjà embrochés des copains sans faire attention et comme il fait pas dans la dentelle, mieux vaut pour toi d’rester derrière lui ou à coté plutôt qu’devant. Enfin, t’aime p’t-être vivre dangereus’ment. »

Journal de Bord du Capitaine a écrit:

[…]
Nous avons abordé le Domination aujourd’hui. Son Capitaine n’est pas celui que je recherche mais je devais bien quelques cales remplies à mon équipage. Après une canonnade en règle et un démâtage propre, nous avons abordé le navire. Comme toujours, c’est la même excitation qui s’empare de moi à ce moment, une rage presque incontrôlée que je déverse dans mes gestes envers ceux qui auraient pu être les chiens qui ont tués ma sœur. Ce n’était pas eux, mais les faire payer pour ce crime qu’ils n’ont pas commis, me permet de calmer ma haine et ma vengeance pour un moment, jusqu’à ce que je finisse pas retrouver le vrai coupable. Quand ils ont daigné se rendre, leur capitaine embroché sur le reste du grand mat de leur navire, j’ai réalisé que j’étais couvert de sang, en grande partie le leur car je ne recensais que quelques blessures bégnines et j’ai ordonné qu’on récupère tout ce qui avait de la valeur et quelques provisions avant de laisser les marins à leur sort sur leur navire. En partant, j’ai fait tirer une dernière salve sur le Domination qui s’est mis à sombrer lentement…
[…]

« On dit beaucoup d’choses sur l’Cap’taine sur terre et même moi j’t’avoue qu’je sais pas grand-chose d’lui. J’sais l’essentiel, qu’c’est un bon Cap’taine et qu’j’ai jamais autant pris d’plaisir à voguer sur l’eau qu’depuis qu’j’suis sous ses ordres. Il est juste, parfois un peu expéditif mais c’est pas d’la méchanceté, juste d’l’autorité parce qu’il en faut d’l’autorité pour tenir une bande de forbans comme nous alors c’est normal. J’suis sûr qu’il traine un passé pas très joyeux derrière lui mais ça t’avise même pas d’lui poser la question si tu veux pas être débarqué sur une ile déserte avec à peine trois feuilles d’ombrage. Ah j’oubliais, avant qu’tu nous d’mandes, ouais, les rousses lui font d’l’effet, mais ça c’est l’lot de tous les hommes, moi c’est plutôt les blondes, mais au moins l’Cap’taine m’piquera pas ma gueuse. » Sherrigan se met à rire avant d’envoyer une grande claque dans le dos du nouveau et d’l’envoyer s’mettre au travail…

Journal de Bord du Capitaine a écrit:

[…]
J’ai encore repensé à Erazielle aujourd’hui. Ses souvenirs continuent de me hanter sans que je puisse y faire quoique ce soit. J’ai essayé quelques potions sensées produire du sommeil sans rêves sans succès. Puis il me suffit parfois de croiser une rousse pour y revoir ma sœur sans qu’il me soit possible de faire autrement. Cela me laisse toujours pantois, fébrile. Il me faut peu de temps pour me reprendre mais je n’arriverais sans doute jamais à m’y faire complètement. Du moins pas avant d’avoir vengé sa mort. J’en ai fait le serment des dizaines de fois ces dernières années mais il n’échappera pas à l’épée de Damoclès suspendue au-dessus de sa tête car je la prendrais moi-même pour la lui enfoncer dans le ventre. Il mourra. Lentement mais surement. Et je tâcherais d’y prendre le plus de satisfaction possible car je sais d’avance le vide que laissera cette vengeance assouvie en moi…
[…]

V- Histoire

Histoire de votre personnage :

Toutes les histoires commencent de la même manière. De la douleur, des cris, des larmes, de la joie. Celle d’Irwin Saw n’a pas dérogée à la règle, ou, plus exactement celle d’Irwin et d’Erazielle Saw n’a pas dérogée à la règle. Car s’il est une particularité à cette histoire, c’est qu’elle commence avec la naissance de deux êtres liés ensemble par le Destin lui-même : deux jumeaux. On raconte souvent que ces êtres possèdent un lien invisible, intangible et pourtant dont on ne pourrait douter de l’existence tant il semble possible à l’un de ressentir les émotions de l’autre, même lorsqu’ils sont séparés. Mais au-delà de cette naissance, il y a d’autres histoires, des rumeurs, peut-être des calomnies… Dans ce petit village côtier du Pays d’Or, l’un des plus proches du Désert de Feu, les gens parlent, les gens médisent. Elwyn Saw était une petite femme modeste, gentille, charmante. Elle travaillait comme couturière et s’occupait de repriser les vêtements ou d’en coudre d’autres avec patience. Seule, elle n’avait pas trouvé de mari ou aucun homme n’avait daigné s’intéresser à elle. Ainsi allait la vie. Pourtant, un jour, elle tomba enceinte. Un tel miracle n’était certainement pas le fruit des Dieux et les gens commencèrent à se demander qui pouvait être celui qui avait insufflé la vie dans le ventre d’Elwyn. Il s’avérait qu’un étranger avait passé la nuit dans le village et que la date concordait plus ou moins avec l’estimation que faisaient les gens sur sa grossesse. Personne ne le lui dit jamais mais tous le pensaient et tous en parlaient entre eux, lorsqu’elle n’était pas là : c’était forcément le Salamandre qui avait engrossé la donzelle. A partir de cet « révélation commune », si Elwyn avait été « seule » par le passé, elle le fut encore plus. Personne n’appréciait le fait qu’elle se soit abandonnée à un étranger, car pour eux, mieux valait vieillir seule et sans enfant que d’offrir son corps à des bêtes. Cet état d’esprit était propre à se village, et peut-être aux environs. Les Dieux seuls savaient d’où venait cette aversion, mais, qu’importent les causes, elle était bien là et Elwyn en faisait les frais… Elle accoucha d’ailleurs presque seule, aidée, en secret, par une jeune femme qui ne supportait pas de l’exclusion dont elle faisait les frais, surtout que rien ne confirmait les rumeurs dont elle faisait l’objet.

Les jumeaux ne furent pas accueillis avec beaucoup de joie dans le village, mais on ne pouvait décemment pas chasser une femme seule et ses deux enfants : à défaut d’avoir de l’affection pour eux, les villageois avaient au moins un semblant de pitié. Enfin, vivre dans un village où personne ne vous considère est peut-être encore plus difficile que de vivre à l’écart d’une civilisation. En tout cas Elwyn se contenta d’être forte et d’élever ses enfants du mieux qu’elle put, avec ce qu’elle possédait, c’est à dire presque rien mais elle le donnait à ses petits avec tellement d’amour que cela paraissait être le plus merveilleux trésor du monde. La vie n’était pas facile tous les jours et joindre les deux bouts n’avait rien de très agréable. Il faut dire que, en grandissant, les enfants n’allégèrent pas les soupçons des villageois qui s’étaient pourtant un peu effacés avec le temps… Erazielle était une jeune fille aux cheveux de feu et aux yeux d’or. Irwin, quant à lui, était brun mais les reflets roux brulant dans sa chevelure n’échappèrent à personne et encore moins les lueurs miel qui brillaient dans son regard brun. Pour tout le monde il était clair que ces enfants ne pouvaient être que ceux d’un Salamandre, la preuve était ainsi faite, par A+B que la rumeur énoncée des années plus tôt était bel et bien vraie. A partir de cette réalité, tout fut encore plus délicat pour Elwyn, qui ne trouva plus une seule âme charitable pour lui tendre la main. Avant, il y avait toujours quelqu’un qui ne croyait pas à ces histoires farfelues, désormais trop vieilles pour y accorder du crédit mais, maintenant, les enfants n’étaient que des preuves à charge, irréfutables. Impossible de nier l’évidence. Pourtant elle tint bon. Pas pour elle, non, elle avait abandonné cette idée depuis des années, mais pour ses enfants. Ils n’avaient pas le droit d’être rejeté pour leur seule apparence, pas de cette manière. Elle avait pensé les emmener ailleurs mais elle savait qu’elle n’en avait pas la force, ni les moyens. Il faudrait attendre, laisser le temps au temps, et, d’ici là, se battre, tous les jours, pour eux, pour leur avenir, pour ce qu’ils deviendraient plus tard, lorsqu’ils seraient grands…

A deux, les jumeaux parvinrent à faire plus ou moins fi de l’animosité à l’égard de leur famille. Ils n’avaient pas d’amis à part eux-mêmes et était toujours exclus des jeux dont les enfants se divertissent lors de rassemblements festifs qu’il pouvait y avoir au village. Leur mère leur donna une éducation de base, rien de bien folichon mais Erazielle et Irwin furent rapidement capables de lire et écrire, même s’ils n’avaient pas beaucoup de livres différents à découvrir et qu’ils les relisaient souvent. Quand ils furent un peu plus grands, les autres jeunes ne furent pas aussi discrets que leurs aînés et si les derniers avaient toujours su taire en public les mots qui leur venaient à l’esprit, leurs enfants s’en souciaient beaucoup moins. Il n’était pas rare qu’Irwin se batte pour sa sœur, parce qu’un autre jeune l’avait insultée. Le résultat était toujours le même, Erazielle le traitait d’idiot tandis qu’elle soignait ses blessures. Il ne comprenait pas pourquoi elle pouvait laisser dire ces choses sur elle et sur leur mère mais elle répliquait toujours d’un ton calme, plongeant ses beaux yeux dans les siens, que ceux qui disaient ces choses étaient de vrais imbéciles et qu’il ne faisait que leur donner raison en se battant contre eux. Mais il n’arrivait pas à ignorer leurs paroles comme elles le faisaient si bien toutes les deux… Dès qu’ils furent en âge, ils commencèrent à aider leur mère dans les tâches quotidiennes, plus, un peu plus tard, pour gagner de quoi se nourrir. Irwin avait bricolé une petite barque sur laquelle il partait le matin pour pêcher. Il ne ramenait pas grand-chose, mais cela suffisait pour eux trois et, lorsque la pêche était meilleure, ils faisaient sécher le poisson pour des jours sans, ou alors, de très rares fois, le vendre. Ainsi passaient les jours et la vie, au rythme lent de la course du soleil, incessante. Mais cela devait en être autrement. Un jour, alors qu’il revenait de mer, Irwin vit le village en feu. Sans prendre le temps d’amarrer sa barque, il courut en direction de leur petite maison avant de la découvrir, elle aussi, en feu. Il découvrit juste après deux corps qui gisaient devant la maison. Son cœur s’arrêta lorsqu’il reconnut la chevelure de sa sœur, si caractéristique, et celle de sa mère. Se précipitant près d’elles, il ne put que se rendre compte de l’horreur dont elles avaient été victime. Violentées, abusées et puis froidement tuées. Il n’y a pas de mot pour décrire ce qui se passa dans l’esprit d’Irwin. Quelque chose s’était brisé en lui, quelque chose qui était progressivement remplacé par de la colère, de la haine voire de la rage.

Sans même attendre que le village ne s’éteigne de lui-même, il prit sa mère dans ses bras et l’emmena à l’écart. Il fit de même avec sa sœur avant de trouver une pelle dans le village désormais désert. Il passa le reste de la soirée, et une bonne partie de la nuit à creuser une sépulture pour sa famille désormais disparue, puis il les y enterra sans autre cérémonie qu’un silence chargé de tristesse, de remords et de colère. Il passa le reste de la nuit à veiller la tombe improvisée avant de regagner le village fumant au petit matin, la mine maussade et l’air absent. Aucune maison n’avait été épargnée par le brasier. Il regarda les restes de sa vie dont s’échappait encore une fumée épaisse. Tout ce qu’ils avaient un jour possédés n’existait désormais plus. Il ne restait rien. Alors qu’il contemplait les cendres, il sentit la colère et la soif de vengeance rugir en lui. Il en avait besoin, pour elles, pour lui. Il devait trouver celui qui lui avait arraché sa mère et sa sœur. Furetant entre les maisons, dédaignant les cadavres, il récupéra ce qui pouvait encore l’être et qui pouvait être utile et prit la route vers le village voisin en espérant qu’il n’avait pas subi le même sort. Heureusement, ce n’était pas le cas. Il prit une chambre dans la taverne pour quelques sous qu’il avait pris à des corps qui n’en auraient plus besoin. S’installant à une table, il chercha à apprendre si certains savaient ce qui s’était passé dans le petit village de pêcher à côté de chez eux. Il entendit parler d’un navire pirate, ayant sillonné la côte des environs et avait jeté son dévolu sur quelques villages qu’il avait entièrement rasés. On parlait de morts, de brasiers, de l’absence de survivants et de la chance d’avoir une vraie garnison pour se défendre. Il entendit finalement un nom et fit en sorte de bien le graver dans sa mémoire pour ne jamais l’oublier, pas avant de l’avoir retrouvé et de lui avoir fait payé ce qu’il méritait. Il se renseigna discrètement sur le meilleur endroit pour trouver un pirate et embarqua sur un navire de commencer pour atteindre l’archipel des sept gouttes. La chance ne fut pas de son côté car il n’y trouva pas l’homme qu’il cherchait mais plutôt que d’attendre son hypothétique et improbable passage, il s’engagea à bord d’un autre équipage pirate, espérant peut-être qu’ils finiraient par faire escale quelque part où il trouverait le Capitaine qu’il cherchait…

Il avait dix-huit ans lorsqu’il s’était embarqué à bord du Brigand un brick avec une vingtaine de membres d’équipage et fort d’un Capitaine fort en gueule et cruel. Les jours passaient usants et éreintants mais à chaque fois que la vigie annonçait « voile en vue », l’espoir de croiser le fer avec celui qui avait tué sa sœur et sa mère, lui redonnait la force de poursuivre l’aventure malgré tout. Il connut plusieurs batailles navales et abordages mais leur Capitaine trouvait rarement le courage de se montrer sur le pont et ne s’en prenait généralement qu’à des bateaux marchands bien peu défendus. L’équipage maugréait en silence, la nuit lorsque le principal intéressé dormait profondément. Il y avait de quoi. Ils étaient traités comme des chiens, ne recevait qu’une maigre part des butins et les prises commençaient à se faire rares car il y avait de plus en plus de protection pour les navires à la cargaison intéressante et, trop lâche pour faire face, leur Capitaine préférait écumer la mer jusqu’à tomber sur une petite prise non défendue, ce qui diminuait d’encore plus leurs gains. La grogne se renforça avec les années, petit à petit, comme une rumeur qui enfle, s’alourdit et finit, un jour, par exploser. C’était six années plus tard. Irwin s’était fait une place parmi les hommes d’équipage, à la fois comme quelqu’un sur qui on pouvait compter dans toutes les situations et également comme un bon camarade, bien que solitaire et pas trop bavard. L’équipage allait commettre le pire des crimes imaginables, celui que l’on payait par la mort ou que l’on effaçait par la réussite : une mutinerie. Seuls quelques hommes étaient restés loyaux au Capitaine, ceux qui étaient choyés : les supérieurs. En silence, ils prirent les armes et s’occupèrent de chacun des hommes qui pourraient leur barrer la route, jusqu’à ce qu’il ne reste que le dernier, le maître à bord, du moins pour quelques minutes encore. L’affaire fut brève et le lâche se retrouva rapidement par-dessus bord. Au choix du nouveau Capitaine, Irwin se présenta au vote. Il y voyait enfin l’occasion de pouvoir mener le bateau dans la direction qu’il le souhaitait, vers sa cible. Accepté de tous, il fit une bonne majorité au vote et prit les rennes du Némésis. Ainsi commençait l’histoire du Capitaine Saw…

Les années se sont écoulées depuis cette mutinerie mais il n’a toujours pas réussi à mettre la main sur celui qu’il recherche. Les indices ne manquent pas, les témoins non plus, pourtant, quoi qu’il fasse, il finit toujours par arriver trop tard. A croire que la malchance joue contre lui. Pourtant, il le sait, il ne pourra s’échapper longuement. Il continuera à écumer les flots, jusqu’à sa mort s’il le faut, mais il le retrouvera. Sur terre, les rumeurs circulent maintenant sur le Flamboyant, Capitaine du Némésis. Certaines sont vraies, d’autres sont fausses. On dit qu’il n’attaque que les autres bateaux pirates, sans distinction et qu’il ne prend parfois pas la peine d’aborder les navires mais se contente de les canonner et de les incendier de cale en mât. On ajoute que cette manière de faire, de jouer avec le feu, provient de sa nature Salamandre dont il possède sans conteste les traits. On raconte même qu’il aurait déjà traversé du feu sans en subir la moindre blessure. Il est dit, dans certaines tavernes, que le seul feu qu’il craint est celui de la chevelure des femmes qui le laissent parfois pantois. On murmure à voix basse qu’il serait possédé par un démon pour se battre aussi violemment lors de ses combats, répandant sans vergogne le sang de ses adversaires de son sabre, mais ses rumeurs évoquent aussi des attaques ne laissant aucun survivant… Or, comment feraient les rumeurs pour naître, sans survivants ?

Et ces deux dernières années ?

Le Némésis était toujours à la recherche du fameux Capitaine qui avait ravagé le village d’enfance de son Capitaine lorsque le raz-de-marée eut lieu. Présent dans les eaux du sud à ce moment-là, le bâtiment pirate avait échappé à la catastrophe maritime, se contentant d’une mer quelque peu houleuse, mais rien qu’ils n’avaient déjà endurés par le passé, fiers marins qu’ils étaient. L’apparition de l’île leur était venue par la terre, d’une taverne où la rumeur s’était déjà bien répandue. On disait d’ailleurs qu’elle regorgeait de richesses et que nombreux étaient ceux à avoir prit la mer pour se les approprier. Pour être franc, rien n’attirait Irwin là-bas et même ses hommes qui auraient pu y voir un moyen de se faire de l’argent n’étaient pas convaincus que cela augurait quelque chose de bon. Cependant, l’abondance de navires impliquait nécessairement celle de navires pirates et donc, avec de fortes probabilités, celui de la proie qu’ils traquaient depuis longtemps. Leur voyage eut son lot de combats navals, contre des pirates, le plus souvent, mais aussi contre des navires marchands ou leur escorte armée. Peut-être même que la réputation du Flamboyant avait encore renforcé sa prise dans la monde de la mer mais cela importait peu à Irwin qui ne voyait que son dépit de ne pas croiser le pavillon qu’il gardait en mémoire. L’évolution des tensions entre les différentes factions n’intéressait que très peu le Capitaine du Némésis qui n’avait de toute façon aucune alliance. Il était hors-de-question pour lui de devenir le Corsaire d’un Roi ou d’un Empereur, sa vie sur mer n’avait qu’un seul but et, qui plus est, cela ne limitait pas ses prises, si chères à son équipage qui s’en était mis plein les poches durant cette grande ère de la navigation maritime. Quelques uns de ses hommes profitèrent de l’établissement de la piraterie sur une large partie du « nouveau continent » pour se poser et profiter de leurs beaux jours mais ils étaient peu et furent vite remplacés par des hommes avides d’aventures en pleine mer. Quant à Irwin, l’idée de se poser le tenterait bien, mais plutôt sur la terre ferme, loin des pirates, bien que, finalement, il devait se rendre à l’idée que malgré le fait que la vengeance gonflait les voiles de son navire, ce mode de vie n’était pas si désagréable que cela. Quoiqu’il en soit, la seule chose qui comptait pour le moment était de retrouver cet homme, si tant est qu’il était toujours vivant, mais c’était probablement le cas vu que son pavillon était encore aperçu par suffisamment de personnes pour donner des pistes à suivre. Pour le reste, les histoires de l’Empire, de malédictions et tout le reste ne l’atteignait pas vraiment. La mer apporte suffisamment son lot d’épreuves pour s’inquiéter de ce qui touche la terre ferme.

Connaissances :

• Le pirate dénommé Bellamy, même si leur rencontre est aussi mouvementée que ne peut l’être une journée en pleine mer par tempête. Difficile de réellement dire qu’ils s’apprécient ou se connaissent simplement bien. Après tout, ils n’ont fait que partager un court moment ensemble.

Une dernière remarque à faire ? Nope !

I.


Dernière édition par Irwin Saw le Mer 17 Juil - 17:26, édité 2 fois
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Metis Adhbreith
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MessageSujet: Re: [Humain] Irwin Saw   [Humain] Irwin Saw EmptyLun 9 Juil - 18:56

Bonjour et bienvenu. Alors tout d'abords je n'ai strictement rien à redire sur ta présentation pour moi c'est parfait. Je pense qu'Ambre sera du même avis mais bon on ne sait jamais. ^^
En tout cas j'adore ton pseudo, nounours flamboyant ! C'est un surnom de pirate pour sûr ! XD
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Ambre Bellamy
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MessageSujet: Re: [Humain] Irwin Saw   [Humain] Irwin Saw EmptyLun 9 Juil - 23:41

Bienvenue ici !

Rien à redire à cette fiche, pour le moins... intéressante.

Tu as ma validation.
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Irwin Saw

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MessageSujet: Re: [Humain] Irwin Saw   [Humain] Irwin Saw EmptyLun 9 Juil - 23:44

Merci merci !
Ravi de voir que ça vous plait !

Irwin.
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MessageSujet: Re: [Humain] Irwin Saw   [Humain] Irwin Saw EmptyMer 17 Juil - 17:27

Fiche mise à jour selon le nouveau format.
Modifications : Age et Histoire.

I.
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Ambre Bellamy
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MessageSujet: Re: [Humain] Irwin Saw   [Humain] Irwin Saw EmptyMer 17 Juil - 17:29

L'ajout est parfait, avec en plus utilisation du nouveau contexte.

Ravie de te revalider donc !
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Metis Adhbreith
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MessageSujet: Re: [Humain] Irwin Saw   [Humain] Irwin Saw EmptyJeu 18 Juil - 12:25

Rien à redire, tout est bon !
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MessageSujet: Re: [Humain] Irwin Saw   [Humain] Irwin Saw EmptyJeu 18 Juil - 17:01

Le contraire aurait été étonnant [Humain] Irwin Saw 253468018
Ravi que ça convienne néanmoins !

I.
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MessageSujet: Re: [Humain] Irwin Saw   [Humain] Irwin Saw Empty

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